La peinture n’a pas besoin d’images. Sa peau en est toute imprégnée :
- Usure du temps, les lignes du bitume font rêver les gens.
- Horizontalité, les dunes blanches rejoignent la mer grise.
- La nuit, la pluie fait luire l’encre du macadam.
- Nous nous baladons dans l’épais brouillard, allégés, nous flottons sur le sol neigeux.
- Au petit matin, trouée d’azur, le ciel se dilate et respire.
- Mieux que l’éternité, la continuité par le renouvellement.
- Visage humain, douce géométrie à réaliser.
- Roulent et défilent, champs plats et nuages gris, mon tendre pays.
- Midi tapante, sonne le téléphone et coulent les mots, résonne la vibration de ta voix dans mes os.
- Tes paroles en main, je continue mon chemin solidaire du tien.
- Des fils se tendent entre les arbres, le givre relie les branches.
- La terre sous la pluie transpire la joie de vivre.
- Coup de fil qui sauve la toile !
- Trop taillée… Beauté envolée.
- Attraper la douceur d’un galet usé.
- Rose. « Talisman » comme une promesse de tendresse !
- La mer ouverte dialogue avec l’espace.
- Toute la joie du monde à croquer.
- La saison du bonheur jardine l’imaginaire.
- Simple connivence, douce harmonie.
- Le dessin souffle la beauté.
- La peinture absorbe et gonfle les cœurs.
- Amitié croisée, antidote de la disgrâce.
- L’épatante bataille du soleil gagne ton sourire.
- Les grandes marées de l’espoir.
- La spontanéité du joyeux hasard.
- L’onde funambule avance dans le creux de la nuit.
- Maison bienveillante, possible ancrage.
- Voyage dans les champs rouges amoureux.
- Rendez-vous à cœur joie avec le jaune mimosa.
- Flânerie douce, air céleste et divin.
- L’espace d’un sourire… La grâce nécessaire.
- Le hasard dialogue avec le peintre.
- La grâce de la fragilité retrouve l’oiseau et l’ange.
- La dense matière du monde.
- Les promeneurs croisent la douceur de mon silence.
- Possible empreinte de quelques fragments d’amour.
- Recomposer l’absurde jeu du monde et reconnaître sa vague joyeuse…
- Ta délicieuse exubérance taquine ma désespérante sobriété.
- Le hasard des formes joue de la claire rigueur.
- L’expansion pétille d’un céleste amour.
- Le vent souffle, je respire le bon air du bonheur.
- La mer relie tous les cœurs.
- La digue de ton sourire résiste avec douceur.
- Clin d’œil au comique comicstrip.
- La gaieté est rebelle.
- Un aller-retour dans la lumière tendre de tes yeux.
- L’enfant colore l’univers de douceur.
- Les petits cailloux sourient de toute leur mémoire.
- Le délicat corps à corps de deux cœurs.
- L’atelier partage l’émerveillement sensible du monde.
- La plénitude ouvre les ailes du lendemain.
- Dans un saut, toucher l’ange du bout des ailes.
- Pur hasard chromatique, la surface picturale rend visible le monde.
- Le temps murmure les secrets, les colères et passe les barrières des malentendus.
- Rond comme une bulle, un cercle… L’amour à tout comprendre.
- Impact de l’enfant, l’espace accueille la puissance de l’instant.
- Une seule image ? L’entre ciel et terre.
- A travers les étoiles, le silence éclate comme un feu d’artifice.
- Le parcours des tableaux expose l’humain.
- Le même souffle traverse l’univers. Une certitude : nous partageons le même air.
- Chaque saison nouvelle : toujours accueillante et bienveillante.
- Sur la toile, l’enveloppe du monde et la forme jouent de leur équilibre.
- Stupéfaite, le chemin menait à la poésie. Enfin le chemin des possibles.
- Empathie pour la dame brune, ses plages, ses vagues, ses couleurs et ses dunes.
- Pleine et entière, la réalité quotidienne rend cohérente la peinture.
- La voix révèle le visage.
- Qui précède… ? Le fond ou la forme ? Le cœur ou le visage ? Le rire ou le corps ?
- Malentendu entends-tu ? Bien entendu !
- L’air souffle sur le corps et la mémoire ouvre ses ailes.
- La peinture est un révélateur. Elle me surprend et pourtant je me dé-couvre à travers elle.
- La mémoire sensorielle de l’œil est immense et insoupçonnée.
- Allégro presto, passe-muraille de la peinture.
- L’empreinte des saisons dans la forme et couleur.
- La joie du printemps, le désir de l’été, la douceur de l’automne, la résistance de l’hiver.
- Matière : source de rêveries.
- L’écho rose touche le sol et répond à la légèreté réparatrice de mai.
- Emergence du cœur, l’enfant swing dans un champ lumineux au rythme de ma tendresse.
- Mars : l’énergie dialogue corps et âme avec la force ascendante.
- Avec un cœur d’enfant, l’horizon accueille le bateau dans l’empathie du mois d’août.
Charlotte Callens